La moyenne des cumuls annuels des précipitations, relevé à la station météorologique de Pontoise, sur ces dix dernières années (600mm) montre une légère baisse de 38 mm par rapport à la normale calculée entre 1981 et 2010 (638mm). Si globalement les nappes phréatiques sont rechargées par les pluies automnales et hivernales, le manque de pluie se fait surtout sentir en été, voire au printemps comme cette année créant une sécheresse superficielle. Ces trois dernières années, des périodes de canicule sont venues aggraver cette sécheresse. Sur les huit premiers mois de 2020, nous accusions un déficit pluviométrique de 43% par rapport à la normale. Ce n’est pas sans conséquence sur la faune et la flore.